
Le 1er mai on célèbre le travail dans toutes ses formes. Mais dans un monde qui evolue, où les chemins professionnels sont variés, une nouvelle vision s’installe : travailler pour soi n’est pas seulement économique, c’est aussi profondément personnel.
Créer son propre projet, lancer sa petite entreprise ou vivre de sa passion, ce n’est pas juste fuir un emploi. C’est souvent une manière d’avoir sa liberté, de dire oui à sa vision, à ses valeurs, à son rythme. C’est oser croire que son idée vaut la peine d’exister, même quand les moyens sont limités.
Mais il y a un autre travail, plus silencieux : le travail sur soi.
C’est apprendre à mieux gérer son temps, ses émotions, ses frustrations. C’est cultiver la confiance, apprendre à dire non, à se relever après un échec. C’est comprendre que pour bâtir un projet solide, il faut d’abord devenir une version plus forte de soi-même.
Et dans cette quête, il y aura des tempêtes. Des jours où les résultats ne viennent pas. Où les autres ne comprennent pas. Où toi-même, tu doutes. Mais c’est là que commence la vraie victoire et c’est a partir de ce moment qu’on se dit CHANPYON avec une autre mentalité ;celle de persévérer malgré tout.
Parce qu’au bout de l’effort, il y a souvent une version de toi que tu n’imaginais même pas. Plus courageuse. Plus libre. Et infiniment plus fière.
A KIKOTE Ayiti, nous croyons que l’entrepreneuriat est la base du changement économique et personnelle. C’est pourquoi nos actions visent à propulser les MPME, mais aussi à outiller des individu pour mieux se connaître, se maîtriser et se développer. Comme l’a si bien dit Esther Présumé : « La plus grande entreprise à gérer reste et demeure sa vie. »Travailler pour soi et sur soi, c’est exactement ce que nous encourageons. Parce qu’un bon projet commence toujours par une personne debout, consciente de sa valeur, et prête à transformer le monde, un pas à la fois.